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Limites et contradictions d’un espace de commémoration numérique
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Limites et contradictions d’un espace de commémoration numérique
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A qui ca va servir cet héritage.
135
Souvenirs après la mort.
La spécificité du rituel : naissance, dot, mort (qui sont sacrés!).
Chaque événement est célébré d’une manière spécifique.
139
La notion de mort est rattachée à la vie et à la lutte des personnes
sans-papiers.
La commémoration ici est à visée politique : elle doit
servir/appuyer/nourrir la lutte sans papier.
147
Rendre visible les disparu·e·s invisibles de leur vivant et doublement
invisibilisé·e·s de par l’oubli de l’état.
149 - 150
Ne pas perdre de vue la colonialité des listes, recensements et
cartographies.
151
La commémoration en guise de reconnaissance. Commémorer pour humaniser :
les disparu·e·s ne doivent pas demeurer à l’état de statistiques et de
données.
154
Quelles formes peuvent prendre les rites de commémoration que nous
envisageons pour le projet NU ?
155
Quelle·s temporalité·es ? Commémoration unique ou récurrente ? Quelle
fréquence ?
158 - 159
Impossible de commémorer sans y associer ce·ux qui cause·nt ces morts.
Commémoration peut-elle être une réponse aux questions des proches qui
sont toujours sans réponses.
La commémoration est une action de rappeler le souvenir d’une personne.
Écrire un texte, un poème
Planter un arbre en sa mémoire
Faire un don à une asso
Évoquer les bons moments passés ensemble.
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Envisager la forme de commémoration comme un espace de rencontres qui
mette en résonance les pratiques et formes de rites commémoratifs en
vue de garder la mémoire des disparu·e·s vivante.